Nom :Sanzenin
Prénom :Nayashi
Age :19
Anniversaire :10 février
Origine :Du pays des gratte ciel^^ Washington
Description physique : (5 lignes minimum) Nayashi a toujours gardé des traits fins et agréables. Son teint de peau est relativement pâle, comparé à ses yeux et ses cheveux sombres. Ses cheveux sont d'un bleu profond, au soleil ils ont de légers reflets violacés. Ce bleu abyssal, il le tient de son père. Ensuite ses yeux sont d'un bleu légèrement plus clair. Ils sont comparables à deux saphirs, offerts par sa mère. Son nez est raffiné, ainsi que sa bouche. Malgré cette beauté le jeune homme reste inexpressif et silencieux. Nayashi ressemble à une personne déçue de la vie qu'autre chose.
En matière de goût vestimentaire notre jeune homme a hérité des goûts de ses parents. Il porte presque toujours lors des cours un genre de smoking avec une cravate, légèrement dénouée. Lorsqu'il n'est pas en cours, il porte des vêtements aux couleurs basiques, mais qui ont un certain cout.
Du côté de la gestuelle, l'élève est relativement discret, il n'aime pas s'imposer, mais par contre si on lui cherche des crosses, il répliquera. Toujours posé, il ne s'exprime que peu souvent, il utilise souvent des soupirs, et ceci est pimenté de quelque bâillement, à croire qu'un rien le fatigue.
Enfin notre héros a une particularité étrange et tout aussi inconnu, il porte sur lui une partie de menotte, sur sa main droite, elle empoigne juste son poignet et la chaîne est cassée. Elle a une signification particulière pour lui.
Description mentale :(5 lignes minimum)Au vu de sa description, on peut déjà affirmer qu’il soit paresseux. Rien ne l’intéresse et il semble dans une fatigue omniprésente. Il est aussi asocial et égoïste. Il agit pour lui et QUE pour lui. Les autres ne sont pour lui que des pions et autres et il reste, indifférent, tel un mur de glace, a l’appel conciliant de l’entraide. Il reste cependant de sang froid par le corps, mais mordant par les mots.
Malgré cette carcasse à l’apparence increvable se trouve un être fragile, rattrapé et subjugué par le passé. Silencieux, il entre dans un état de transe, pendant toute la remonté de ses souvenirs. Au fond de cet être asocial se cache une personne généreuse et créative. Personne ne s'est réellement intéressé à l'être qui se cache sous la carapace de son lourd passé. Nayashi n'aime pas s'ouvrir aux autres, il se sent souvent jugé par leurs regards, il n'a pas pour habitude d'être expressif.
Histoire : (plus de 15 lignes)
Affaire n°38952, code confidentiel n°36M2N, Accusation : Assassinats pour raisons économiques, Accusé n°98420-Nayashi Sanzenin. Aveux du coupable.
Le rêve, mon enfance a été un vrai rêve. Fils unique du patron de la Sanzenin-Corp, une entreprise multinationale en technologie de pointe. J’ai eu tout ce que je voulais. Tout vraiment tout ! De la petite voiture a la dernière console. Tout le monde aurait voulu ma vie et tué pour l’avoir. Mes deux parents, tout les deux manager de l’entreprise, n’avait aucun temps à m’accorder. Tout seul, dans ma pile de jouet, je m’ennuyais. Cet ennui me dégouta un peu de l’argent, de la richesse, si elle inspirait la solitude. Et un enfant qui s’ennui s’invente un ami imaginaire. Ce ne fut pas mon cas. Enfin si, mais dans un point de vue beaucoup plus sinistre. Une femme s’installa devant moi. Elle avait vers les 25 années, était incroyablement belle, et...cela je le su par après, était une assassine. Passant tout mon temps avec elle, je fus pris doucement de ce qu’on appelle maintenant crises. J’arrachai mes jouet, essayait de tout transformé en arme. On prit cela pour un énervement habituel d’un gamin. On m’acheta un chien, Pilou –quel nom pathétique- et deux jour plus tard, il était mort...de mes mains. J’avais 10ans. Ce qui terrifia la maisonnée, c’était mon rictus de victoire qui s’affichait sur mon visage. On me fit analyser.
Après les multiples analyses, on dit que j’étais atteint d’un dédoublement de personnalité d’une espèce rare. Je vous explique. Les scientifiques avaient élaborés comme théorie que la mémoire de ses ancêtres restait enfuit a l’intérieur du fil de la vie, l’ADN. Cette femme était Alyuna, une ancêtre célèbre pour ses assassinats spectaculaires au Moyen Age. Malgré les efforts des scientifiques de mon père, les sacrifices de celui-ci, à l’âge de 16 ans, on était toujours au même point, elle était dans moi. Mes parents, déboussolés, avaient détourné enfin l’attention sur moi et ne s’occupant plus de l’entreprise croulèrent sous une OPA d’un de ses concurrents. La faillite était la, a la porte. Mon père pétait un câble, ma mère pleurait toute la journée.
La maisonnée m’abandonna, moi et mes parents à mon triste sort. Tous des lâches ! Tous venu que pour l’argent, l’argent et encore l’argent. Que des foutus connards qui se sont foutus de moi pendant 16 ans ! L’argent et encore l’argent. Un mot qui me dégoutait à l’époque, un mot infâme, démoniaque, mais qui faisait briller les yeux de mes parents.
L’idée vint de mon père. L’idée de m’utiliser pour se ramener a flot. Il avait tout un plan. Un plan glauque, illégal et surtout, destiné à me faire payer. Avec ma mère, il travailla sur un produit capable de faire intervenir mon autre moi, Alyuna. Ce liquide accélérait mon métabolisme, obligeant ma seconde personnalité à se dévoiler. Mon père déclara quelques effets secondaires sans conséquences pour moi. Mon cul sans conséquences ! Cette substance me rognait de l’intérieur, bouffait mes entrailles, explosais ma cervelle. Mais a mes plaintes, mon père m’expliquait que tout était arrivé par ma faute. La purge commença. La purge des concurrents bien sûr. Je voyais, sans pouvoir ne rien faire des gens se faire tuer. Je tuais n’importe ou ; dans un théâtre, chez le condamné, ou encore dans un stade. Et je tuais de tout. Femmes, enfants, pères, grand-père. J’ai éteint des arbres généalogiques entiers. Tout à ce moment était douleur et Enfers.
Les conséquences de l’utilisation du second moi, furent un dégradement de mon état mental sévère et Alyuna pris possessions de moi, il n’y eu plus un moment ou elle n’était pas la, ou je devais la contenir. Cela faisait une année que je tuais, il fallait que cela stoppe. J’ai alors attendu le bon moment, hésitant à passer à l’action et finalement je parvins à m’échapper et je me suis dénoncé à la police. Mes parents appelés, ils déclarèrent que j’étais fou. Le choc fut pour moi affligeant. Je décidais de finir cela au tribunal.
Fin de la lecture mémorielle.Jugement demandé par la défense –les parents Sanzenin- : Peine capitale, pour folie ayant entrainé la mort.
Jugement reçu : 2 ans d’emprisonnement, pour Folie aggravée, dans un centre spécialisé avec traitement puis remise au Camp Hanae pour redressement.
Affaire liée : -Emancipation à ses 17ans demandé par la défense.
-Violence sur policier suite a une arrestation ou l’accusé a essayé de s’enfuir en cassant ses menottes. Voir affaire n°36860
Mise a jour le 29 juillet : L’individu (19 ans) a purgé la première partie de sa peine. Redirection vers le Camp Hanae.
Famille : Pas orphelin, mais renié par sa famille.
Ville / Pays :Washington DC
Groupe : J’hésite Je sais pas du tout… renfermé mais violent, je vous laisse choisir.
Où avez vous connue le forum ?Konoha-school,Konoha-city, Konoha Beach camp. Yugito, ça vous dit quelque chose ?
Code : J'accepte de devenir cobaye !Non, je serai toujours un résistant!
Sujet: Nayashi, dit le doppelganger 
Mer 29 Juil - 20:16
